• 1 Rand Homme@jlai.lu
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    3 months ago

    Et oui les déserts médicaus s’accroissent… Mais ouinouin les pov ils ont gâchés leur jeunesse dans 10années d’études ils vont pas en plus devoir fréquenter la plèbe des cul-terreux dans la province profonde…LES PPÔVRES !

    • loutr@jlai.lu
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      3 months ago

      On peut aussi ne pas vouloir vivre à la campagne quand on a vécu toute sa vie en ville, sans pour autant mépriser ceux qui y vivent.

      • troglodyte_mignon@lemmy.world
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        3 months ago

        D’ailleurs, au-delà du manque de médecin en général, la faible diversité sociale/géographique des étudiants en médecine contribue très fortement à la désertification médicale. Sans qu’il y ait nécessairement du mépris, le fait est que les enfants d’urbains aisés sont moins susceptibles de choisir de s’installer à la campagne ou dans une banlieue populaire. Et le lieu de formation joue aussi.

        L’un des enseignements les plus solides de la littérature internationale concerne le lien entre le lieu d’origine, de formation et de stage des étudiants, et leur lieu d’installation future. En France, les étudiants en médecine sont issus majoritairement de zones urbaines favorisées. Les zones rurales et les quartiers défavorisés sont sous-représentés.

        Citation tirée de cet entretien : https://www.ladepeche.fr/2025/04/28/entretien-trop-ou-pas-assez-de-medecins-il-faut-surtout-diversifier-lorigine-geographique-et-sociale-des-etudiants-12658324.php